Professeur Ptéra Administrateur
Messages : 12 Date d'inscription : 29/06/2016
| Sujet: [Fic]Branette, l'histoire d'une vengeance... Ven 1 Juil - 19:50 | |
| Salut la communauté ! Aujourd'hui je vous apporte la toute première fanfiction du forum, alors goutez-y bien ! - Table des chapitres:
Prologue Chapitre 1: Le rejeté Chapitre 2: Les flots rouges dans le désert Chapitre 3: La pierre de sang
Je vous laisse lire par vous même... Branette, l'histoire d'une vengeance- Prologue:
Il y a deux décennies, au marché de Poivresel, une petite fille de 6 ans appelé Emma Grye se promenait accompagné de sa mère, une grande dresseuse de pokémon réputée dans tout Hoenn. La petite fille et sa mère firent une halte devant le magasin de poupée. Puis, la petite fille, ses yeux brillants comme la perle du Spoink qui faisant des spectacles de rue devant le marché, lança d'un air tout excité:
-Oh! regarde la joli poupée maman! Je la veux!
La petite fille pointait du doigt un poupée de chiffon avec une fermeture éclair dorée lui servant de bouche dans le rayon du magasin.
-Voyons, dit la mère en regardant l'étiquette du prix, elle est belle mais ce n'est pas donnée. Elle coûte tout de même 25000 pokédolards! -Allez maman! s'exclama la petite fille, une larme factice perlant dans son oeil gauche. S'il te plaît!
Devant le caprice exagéré de sa fille, la mère céda.
-Bon d'accord. Mais ne vient pas me demander autre chose! -Promis maman! lança la petite fille, un grand sourire sur le visage. Je serais muette comme un Magicarpe!
La mère paya son dû, et la petite Emma agrippa sa poupée comme un Guerraigle agripe sa proie.
Les jours passèrent, puis les semaines, puis les mois et la petite Emma chérissait sa petite poupée de chiffon. La poupée, elle, était étrange. Bien que non vivante, on aurait dit quelle savait assimiler les émotions et les ressentir. Et la poupée chérissait aussi sa petite propriétaire. Mais la petite Emma se délassait petit à petit de son jouet en grandissant, mais la poupée, elle, ne pouvait s'en rendre compte.
Puis, un jour, vint la terrible catastrophe du rangement de chambre. Emma devait rangé sa chambre, dans un désordre tel que même un Groret ne pouvait y vivre. Elle aurait bien utilisé le Goinfrex de sa mère, mais cela lui était formellement interdit. Sa mère lui ordonna de jeter tous les jouets dont elle ne servait plus. La petite lança un soupire flegmatique, puis s'attela à la tâche. Elle jeta son vieux Bilboquet, son Goinfrex Maboul, sa vieille Game Porygon, et plein d'autres jouets ainsi que...sa poupée. La poupée, bien que pouvant ressentir et comprendre les émotions, ne pouvait pas comprendre le triste sort qui l'attendait.
Le Lundi venant, les éboueurs passèrent et emportèrent les poubelles dans leur camion. C'est à ce moment que la poupée comprit l'affront que lui avait fait sa propriétaire: elle l'avait envoyé à la mort. Dans le camion, la poupée ressentit un immense sentiment de rage, de tristesse et de rancune. Ces émotions négatives firent prendre vit à la poupée. Elle auparavant si joli, grandit pour arriver à la moitié de la taille d'un humain en bonne croissance, des jambes et des bras lui poussèrent, son corps devint noir et ectoplasmique et des yeux rouges apparurent sur son visage, des yeux rouges exprimants la haine et la folie. Un nouveau pokémon était né; Branette éait né.
Branette jura vengeance à sa propriétaire alors qu'il était déjà débarqué dans un bateau éboueur direction la décharge de Volucité. En arrivant au port, Branette se leva et se dirigea vers les appartements des matelots. La poupée vit grincer la fermeture éclair lui servant de bouche afin de lancer une attaque Grincement. Un des quatre matelots posa ses cartes de Black Jack sur la table et sortit de ses appartements pour trouver la provenance du bruit. Accompagné de son Nirondelle, il fit une quarantaine de mètre pour arriver devant Branette.
-C'est quoi ça? demanda le matelot.
Le matelot sortit un Pokédex puis examina la poupée, mais le pokédex ne semblait pas en savoir plus que lui. Branette rentra soudainement dans l'ombre des murs à la plus grande exclamation du matelot et de son Nirondelle, qui volait juste derrière lui. La poupée sortit discrètement de l'ombre des murs derrière le pauvre petit pokémon puis, cruellement, lui lança une attaque Feu Follet. L'oiseau brûla vif en criant et en se débattant, tandis que son dresseur cria de peur. Violemment, Branette lui asséna une attaque Malédiction. Le matelot cria si fort que ses compèrent l'entendirent et sortirent en vitesse. L'homme s'écroula en sang aux pieds de la poupée, tandis que cette dernière se retourna vers ses compères.
-C'est quoi cette chose!? cria un des matelots.
-Je sais pas, dit un autre, mais il a tué Gégé et Nirondelle!
Les trois matelots appelèrent tous trois un pokémon. Un Batracné, un Médittika et un Machoc furent aussitôt appelés. Machoc lança d'abord une attaque Pied Voltige, mais traversa Branette et se cassa la jambe. Branette l'éxécuta aussitôt d'une violente attaque Ball'Ombre qui fit exploser sa tête. Puis Batracné lança un puissant Hydrocanon auquel Branette ne fut pas indifférent, mais attrapa un couteau à la ceinture du matelot mort pour le lancer directement dans la poitrine du Batracné, et le terminer avec une attaque Ball'Ombre. Médittika n'eut pas eu le temps de réagir qu'il se fit transpercer par une attaque Ball'Ombre surpuissante. Les matelots essayèrent de prendre leurs jambes à leur cou, mais Branette leur asséna directement une attaque Détricanon, qui les éxécuta par le par le poison.
La nuit, Branette sortit discrètement du bateau et jura sur sa propre vie de tuer Emma Grye.
- Chapitre1 - Le rejeté:
Branette sortit du bateau, et il se réfugia dans une ruelle derrière le Centre Pokémon. Il avait beau être une poupée à la base, il fallait qu'il dorme. Il s'arrête et s'assit sur un banc et commença à réfléchir: comment pouvait-il rentrer à Poivresel et y exécuter son ex-propriétaire? Car notre poupée le savais bien; au fond de son rembourrage de coton, tuer le répugnait. Pris par des excès de folie, il avait entreprit un sextuple meurtre à bord du bâteau décharge. Mais il voulait tout de même plus que tout tuer Emma Grye comme elle l'avait intérieurement tué. Mais rentrer ne serait pas tâche facile: en effet, Unys est complètement à l'opposé de Hoenn. Et son sextuple meurtre se fit rapidement savoir dans tout Volucité et une opération Vigipirate avait été levé sur tous les ports de la ville. Branette ne pouvait pas rentré à Hoenn de façon direct, c'est à dire par les nombreux transports maritimes entre les deux régions. Branette baissa la tête et pleura, à grandes larmes il pleura; de tristesse il se lâcha
Branette pleurait et lançait des jurons dans le vide. Quand une voix s'éleva de l'ombre; une voix aigue et sombre: - Que fais tu ici à pleurer, mon ami? dit sereinement la voix. Tu m'as l'air bien triste...Un Sepiatop sortit de derrière la poupée, un Sepiatop à l'apparence anormale. En effet, ce Sepiatop avait une grande entaille au visage, signe d'un combat violent, et de multiples taillades un peu partout. Branette sursauta en le voyant, puis porta sa main à la fermeture éclair lui servant de bouche. Il l'ouvrit, et se mit à parler. - Qui es-tu ! lança violemment la poupée. - Toi aussi... prononça doucement le pokémon aux allures calamaresques en faisant clignoter les point jeunes sur sa tête. - Moi aussi quoi ?! lança Branette. Puis, Branette lança une violente attaque Ball'Ombre presque à bout portant sur le Sepiatop. Ce dernier lança un tout petit flash lumineux des points de sa tête, avant d'imiter la poupée. Sepiatop se révéla avoir utiliser l'attaque Imitation. Ce fut alors un entrechoc entre les deux attaques. - Toi aussi, tu as été rejeté par les humains! lança le calamar avec une voix émue. Nous sommes presque pareils, toi et moi.- Quoi? Qui es-tu à la fin?!- Moi c'est Sepiatop! lança gaiement le pokémon tailladé. Je suis expert en télépathie et j'ai moi aussi été trahis par les humains par le passé...Une larme commença à perler dans l'œil du petit pokémon. - Aurais-tu plus de détails? demanda timidement Branette. - Autrefois, je vivais à Kalos avec mon dresseur. dit tristement Sepiatop C'était une femme avide de beauté. Après quelques jours passés ensembles, elle m'a envoyée sa bande de Chaglam pour m'exécuter, sois disant que ma laideur faisait tort au monde lui-même. J'ai réussi à m'enfuir de peu, tsss...Branette se sentit mal: l'histoire de Sepiatop était horrible et presque similaire à la sienne. Branette s'assit alors calmement et raconta toute son histoire dans les moindres détails à son petit ami flottant.
Sepiatop, horrifié par l'histoire de Branette, lui proposa son aide. Ainsi naquit une belle amitié. Et le lendemain, Branette et Sepiatop partirent glaner des informations aux quatre coins de la ville. Au départ, aucune information utile. Mais après une demi-journée de recherche, ils tombèrent sur un plan détaillé de la région: Sur ce plan détaillé, nos rejetés eurent pus voir la localisation de chaque ville et occasionnellement la leur. Ils purent voir une information intéressante: sur le plan était indiqué la localisation de la ville de Parsemille, ainsi que ses lieux célèbres et sa forte activité commerciale. Ils purent voir en gros écrit AEROPORT NATIONAL DE PARSEMILLE. Si les bateaux étaient bloqués, pourquoi les avions le seraient? Sur ce plan était aussi écrit que les avions s'arrêtaient à Kalos, à mi-chemin de Hoenn et aussi la région natale de Sepiatop. - Il faut prendre cette avion, c'est notre seule chance! s'exclama la poupée d'un air décidé. - Oui, et le retour au pays me permettra de faire mon travail. lança le calamar, une larme perlant dans son œil gauche. - Mais on y arrivera pas tout seul, il nous faudra de l'aide, et je ne pense pas que nous sommes des cas isolé de la maltraitance humaine.- Oh que non!Branette et Sepiatop se mirent donc en tête de partir à Parsemille. Mais le voyage était quand même assez long. Et de l'aide, beaucoup il en faudrait...
- Chapitre 2 - Les flots rouges dans le désert:
Après de longues minutes à chercher une sortie de la ville, nos deux rejetés trouvèrent la porte menant à Parsemille, ou plutôt vers la Route 4, qui mène à Méanville. Le seul hic, c'est que cette route était un désert. Et le sable, les poupées ne l'apprécient pas beaucoup. Mais ils n'avaient pas le choix: si ils ne traversaient pas ce désert, ils ne pourraient pas retourner à Hoenn. Ils marchaient depuis plusieurs heures quand soudain ils aperçurent une chose qui les stoppa nette: un petit pokémon était allongé au sol, avec une pokéball brisée non loin de lui. Des plumes s'envolaient de son corps à cause de la tempête de sable et il était couvert de quelques tâches de sang. Branette et Sepiatop se virent obligés de l'aider, car, en voyant la pokéball au sol, ils comprirent tout de suite ce qu'il s'était passé. de plus, si il restait comme cela, il allait vite mourir de déshydratation. Alors les deux pokémons le prirent avec eux jusqu'à ce qu'il se réveille. Le pokémon était en fait un Poichigeon. Après avoir bu et mangé, le volatile dit alors: -Merci de m'avoir sauvé. J'étais morte de peur, j'aurais pu mourir ! -C'est sûr que c'est pas top tout ça... lâcha Sepiatop. -Qu'Est-ce qu'il t'est arrivé ? demanda, avec appréhension, la poupée. -Mon dresseur cherchait la perfection, lâcha la petite Poichigeon en pleurant. Il me trouvait faiblard, sans potentiel. Alors il a décidé de m'abandonner ici, avec aucune chance de survie. Les deux Pokémons se remémorèrent leurs histoires et s'apperçurent que Poichigeon était comme eux, un pauvre pokémon abandonné sans foyer ni amour à donner. Seul la haine et la rancœur régnait dans leurs cœurs. Alors, à tour de rôle, les deux Pokémons racontèrent leurs histoires à leur nouveau compagnon. Horrifié, il se mit à prendre son sort comme un grain de sable parmis tant d'autres. Branette proposa quelque chose à Poichigeon: rattraper son dresseur et l'exécuter comme il se doit. Poichigeon, hésitante, répondit alors oui, car la vengeance qu'elle voulait assouvir allait pouvoir se réaliser. Poichigeon avait envie de se venger. Et elle savait que ce dresseur était horrible. Il fallait la punir, et la peine capitale était une solution comme une autre. Mais, en échange, elle rejoindrait la poupée et le calmar tailladé pour les aider à assouvir leur vengeance. Une demi-heure de marche plus tard, les trois Pokémons trouvèrent le dresseur de la petite Poichigeon. C'était en fait une fille, qui possédait un Venipatte et un Darumarond. Elle marchait paisiblement vers Méanville en luttant de son mieux contre la tempête de sable. Branette commença par envoyer une attaque Feu Follet sur le Venipatte. La dresseuse se mit alors en alerte, attendant une autre attaque. Puis, finalement, elle prit ses jambes à son cou avec ses Pokémons. Malheureusement pour elle, Sepiatop fit clignoter les points de sa tête et créa une cage autour des six individus. C'était une attaque Distorsion, grâce à laquelle Sepiatop rattrape aisément les trois cibles. Violemment, il déchiqueta le Venipatte d'une cruelle attaque Tranche-Nuit et Branette envoya une attaque Détricanon sur le pauvre Darumarond. La dresseuse, effrayée, éclata en sanglots quand, par derrière, Poichigeon lui enfonça son bec dans la nuque d'une rapide attaque en piqué. Le sable vira au rouge, tel une oasis de sang au milieu du désert. Les flots rouges qui prennent d'assaut le désert. Vengeance assouvie, la petite Poichigeon se joignit aux deux rejetés et se dirigea avec eux vers Méanville, faisant des tours de ronde en volant régulièrement, pour contrôler l'avancée. Plusieurs heures plus tard, ils étaient enfin arrivé à la célèbre ville. Et les trois Pokémons trouvèrent deux plans: un de la ville et un de la région, avec leur localisation, comme à Volucité. Ils sentaient l'espoir remonter dans leurs cœurs. Ils étaient arrivés assez loin, mais malheureusement, ils allaient trop lentement. Il leur faudrait trouver un raccourci ou autre. Mais ils comptaient bien profiter de leur passage à Ménaville. Après tout, ils restent deux enfants et une poupée !
- Chapitre 3 - La pierre de sang:
Un silence de mort régnait dans le bureau depuis presque cinq minutes. Les employés en livrée attendaient patiemment le mot du chef. Leur costume plein de sueur trahissait une grande inquiétude. Des lunettes de soleil qui tombaient de leur nez et des gants noirs trempés, eux aussi, de sueur. Le patron, lui, était caché derrière son fauteuil tournant, comme toujours, et portait un grand chapeau noir qui cachait son visage. Un mot de ce dernier vint déchirer le profond silence: - L'avez-vous récupéré ?Après un long silence, ,les employés répondirent: - Je...je suis désolé. Quelqu'un l'a prise avant nous- Qui donc? cria le directeur. Les employés ravalèrent leur salive bruyamment, puis l'un d'eux répondit: - Un pokémon, monsieur. Un Tyranocif, plus précisémentLe directeur lança plusieurs jurons et hurla si fort qu'un des employés commença à perdre l'équilibre sur ses pieds. - BANDES D'INCAPABLES! hurla l'homme au chapeau. Retrouvez moi la pierre, sinon je vais vous faire jeter au cirque avec les Némélios! ET PLUS VITE QUE CA!Après ce savon, les employés, déstabilisés, sortirent en vitesse du bureau, et allèrent se préparer pour retourner chercher ce qu'ils avaient apparemment perdus.
- Revenez ici, espèces de petits voleurs ! hurla une vendeuse de glaces. L'équipe des rejetés, après avoir volé plusieurs kilos de glace, s'en allèrent vite dans le parc de Méanville, pour manger et se réfugier. Après un bon (pas très équilibré), nos héros repartirent arpenter la ville et glaner des informations. Ils envoyèrent Poichigeon pour repérer des raccourcis par le ciel. Ce dernier repéra un long fleuve qui coule sous le pont Yoneuve, un raccourci idéal pour se rendre à Parsemille. Mais aucun des trois Pokémons ne savait nager, malheureusement pour la petite troupe. Il leur faudrait un moyen d'embarcation ou un pokémon pouvant les transporter sur l'eau. Mais ils ne connaissaient actuellement personne qui pourrait le faire. En sortant du parc, ils rentrèrent dans trois personnes en costume noir (un homme et une femme) très préssés. Ils disaient chercher un pokémon qui avait été aperçu dans les horizons: un Tyranocif. Ils portaient un écusson sur leur veste avec, en dessous, écrit quelque chose d'étrange: Equpe Arectunc. Ils se dirigèrent alors directement vers la Route 5. Les trois rejetés s'empressèrent de les suivre, et même de les rattraper grâce à l'Ombre Portée de Branette.
Le Tyranocif était assis sur un rocher, la pierre entre les mains, les yeux fermés, en train de méditer dessus depuis de longues heures. La poupée, le pigeon et le calmar l'observaient depuis quelques heure et la nuit était déjà tombée. La pleine lune lançait son voile argenté sur la Route 5. Les rejtés observaient aussi les individus en laquais, cachés dans les buissons, à observer le pokémon massif. Le temps passait, Branette repensait à son histoire, à celle de ses équipiers, et à plein d'autre choses tristes et sombre, comme le sanglant assassinat dans le désert. Soudain, Tyranocif ouvrit les yeux avec une lueur de mort dans ces derniers, et la pierre se mit à briller. - La pierre de sang ! Il...il a réussi à la maîtriser ! cria un des hommes en livrée. Une tempête de sable se leva alors autour du Tyranocif, puis la pierre se mit à briller, puis se changea en une pierre aux couleurs de Tyranocif, ressemblant à ça: . Une telle puissance émanait du pokémon que tous les témoins étaient terrifiés. Puis, le Tyranocif se mit à briller, le ciel de la nuit vira au rouge sang, et il se métamorphosa en un pokémon encore plus massif, imposant, effrayant et puissant. Sa seule vue suffisait à terrorisé les trois Pokémons qui en avaient beaucoup vu dans leur vie. - Qu'Est-ce que... commença à articuler Poichigeon - ...c'est que.... continua Sepiatop - ...cette chose ?! termina la poupée Un des trois hommes en noir se précipita dessus avec un Cacnéa, mais les deux se firent déchirer en morceau par deux violents coups de griffes latéraux. C'était une attaque Draco-Griffe. Les restes du pokémon et de l'homme volaient et le sang gicla. C'était la panique totale, sur la route comme à Méanville. Des cris de frayeur des passants retentissaient et Tyranocif devenait de plus en plus incontrolâble.
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